Fondée de manière radicale et évolutive sur l’expérimentation, la transversalité et la recherche la Confluence propose :
Fondée de manière radicale et évolutive sur l’expérimentation, la transversalité et la recherche la Confluence propose :
Architectes, critiques, artistes, penseurs, philosophes, cinéastes, scientifiques, ingénieurs et industriels collaborent et partagent les connaissances et leurs découvertes. La diversité des cultures, des savoirs et des pratiques permettent le développement des idées et des projets sans aucun sectarisme et sans aucune idéologie, pour envisager tous les possibles.
L’enseignement est développé autour de questions contemporaines issues des nouveaux champs de la pensée critique.
Les champs thématiques sont abordés de manière transversale et non-hiérarchique afin de renforcer l‘autonomie et le questionnement personnel des étudiants qui construisent leur propre parcours lié à leurs préoccupations spécifiques.
Les neurosciences s’attachent à l’étude du système nerveux de l’homme et sont à la croisée des domaines du biologique, du médical, du psychologique, du chimique, de l’informatique et des mathématiques. Le lien à l’architecture s’opère au travers des relations du corps à l’espace. L’exemple des déficiences neurologiques qui affectent les individus dans le rapport à leur environnement ouvrent des champs d’exploration pour l’architecture et pour la ville. L’espace lui-même affecte et conditionne le corps en retour. Il est ainsi essentiel d’étudier toutes leurs interelations afin de questionner et de proposer de nouveaux environnements.
Les nouveaux outils à la disposition de l’homme aujourd’hui, qu’ils soient dans le champ de l’information ou dans celui de la connexion et de la communication renouvellent les possibilités de mobilités, de relations et d’échanges dans l’espace. Ils questionnent et transforment les modes de vie et donc les lieux de vie. Il est ainsi essentiel d’étudier toutes les interelations avec l’espace générées par ces nouvelles technologies afin de questionner et de proposer de nouveaux lieux.
L’art a toujours fait partie des études d’architecture mais sous l’approche restreinte de l’histoire et de l’esthétique. L’apport des nouveaux médias a transformé la vision traditionnelle des liens entre l’art et l’architecture. Par exemple, le cinéma en premier a modifié et modifie encore notre culture visuelle de l’espace. Les nouveaux moyens de conception et de représentation instruisent et modifient notre regard sur l’espace. Il est ainsi essentiel d’étudier toutes les nouvelles cultures visuelles générées par ces nouveaux medias afin de questionner et de proposer de nouveaux espaces.
L’étude des actions qui permettent aux individus de s’adapter aux milieux sociaux environnants. La ville comme milieu de l’homme au même titre que les autres milieux dits « naturels » est par excellence le champ d’observation, de renouvellement critique et d’action pour l’architecture. L’observation et l’analyse des situations critiques sont génératrices d’un renouvellement de la pensée et de l’action sur l’architecture et la ville. Il est ainsi essentiel d’étudier toutes les nouvelles approches sociologiques, philosophiques, anthropologiques, ethnologiques etc. afin de questionner et de proposer de nouveaux milieux.
Sous ce terme sont regroupés les domaines de géographie, de matières et d’énergie qui dans leurs études les plus récentes génèrent de nouveaux champs d’exploration pour l’environnement humain. En s’appropriant ces domaines de recherche l’architecture explore ses propres milieux d’intervention. Alors que la géographie permet de préciser davantage les conditions territoriales de l’architecture, les nouveaux matériaux offrent à l’architecture de nouvelles possibilités constructives